
Je salue Jacques Ledoux, patron de la Cinémathèque royale, qui nous montra en leur temps les films de Shuji Terayama (l'Empereur Tomato-Ketchup, Jetons les livres, sortons dans la rue !, Adieu l'arche, etc.). Rétrospectives, festivals, musées, dévédés: au milieu des titans de la nouvelle vague du cinéma japonais - Oshima, Imamura, Yoshida -, Terayama fait figure de grand oublié. L'odeur de soufre est-elle si tenace ?
extrait de la Photothèque imaginaire de Shuji Terayama (1935-1983)