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le vieux monde qui n'en finit pas
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12 juillet 2008

Milton Berle, 12 juillet 1908

« A young man fills out an application for a job and does well until he gets to the last question,
"Who Should we notify in case of an accident?"
He mulls it over and then writes, "Anybody in sight!" »

« A good wife always forgives her husband when she's wrong. »

« My doctor recently told me that jogging could add years to my life.
I think he was right. I feel ten years older already. »

berlecolor

Enfant prodige des écrans américains dans les années dix (Il a travaillé avec Mary Pickford, Douglas Fairbanks et Charlie Chaplin avant de savoir grimper aux arbres, et aurait tourné plus de cinquante films avant l'âge de dix ans), créateur de la stand-up comedy, pilier du circuit de la Bortsch Belt dans les Catskills et vedette des scènes de Broadway, inventeur du talk-show comique (« Trente ans à la NBC, disait Groucho Marx, ce n'est pas un contrat, c'est une condamnation. »), roi du travestissement, capable des extravagances les plus improbables, Milton Berle a eu cent ans ce matin. Ses héritiers n'ont pas attendu cela pour lui dire l'importance de leur dette.
Dans le dernier long métrage de Jerry Lewis (Smorgasbord / Cracking Up), il apparaît entre deux portes, dans l'antichambre du psy joué par Herb Edelman, en patiente hystérique, caquetante et maniérée.
Déjà, dans son premier film, The Bellboy (1960), Jerry Lewis invitait son mentor à un irrésistible chassé croisé où chacun d'eux jouait un double rôle - le sien et celui d'un groom. La mécanique géniale de Jerry a déjà supplanté celles de Frank Tashlin et Norman Taurog, la ressemblance Lewis-Berle est troublante, mais Milton est encore le patron. (« Just a minute, would you, son ? »)

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