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le vieux monde qui n'en finit pas
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1 octobre 2008

Julie Andrews, 1 octobre

julie

Dessus, une bio comme on aime (Éd. Hyperion, 2008). Un éditeur français la fera-t-il traduire un jour ?

En bas, une scène de SOB, immense loufoquerie burlesque de Blake Edwards, où le cinéaste et sa légitime décidaient enfin (quelques mois avant de tourner leur chef-d'œuvre, Victor Victoria) de jouer cartes sur table. « You want to see my tiiiiits ? » Je connais de vieux adolescents qui ont, ce jour-là, jeté les photos de Mary Poppins qu'ils dissimulaient, tachées et froissées, entre les pages de leur édition de poche des Fleurs du mal. Comme tant de bons films américains, SOB parlait de réussite et de suicide, de fric et de belles maisons sur la plage, de came et de booze, de seins et de culs, de cul et de cinéma. Il évoquait vaguement la fin du vieil alter ego d'Edwards, Richard Quine, qui s'était tiré une balle un an et demi plus tôt. Mais c'était une autre histoire.

julie_sob_

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Commentaires
G
Voilà! C'est exactement la raison pour laquelle je viens sur ce blog.<br /> Je me cultive : Julie Andrews montre ses seins dans S.O.B.! Encore un truc que je savais pas.<br /> C'eût été mieux qu'elle les montrât dans Mary Poppins mais il paraîtrait que S.O.B. est meilleur, comme film.<br /> D'autre part, c'est la plus belle femme du monde, avec par ailleurs tous les avantages de Janet Leigh ou Doris Day sans en avoir les inconvénients (je veux dire par là que comme Janet Leigh, elle est pure à 99,5%, mais à la différence de Janet, le 0,5% restant n'est pas pour les nourrissons! Il chauffe, il brûle!). Julie quelle classe, chapeau, messieurs!<br /> (quand même un peu plus "chaud" que les photos des films qui ont illustré la venue de Cinérotica, non?).
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