
« Le goût pour le cinéma était vraiment un phénomène générationnel. Pour faire un peu large, entre 1964 et 1980, les jeunes gens parisiens ont vu beaucoup de films. Il y avait un accès naturel, hebdomadaire, à la salle de cinéma, et à cette époque, on allait à la Cinémathèque comme on allait au Marigny: on n'avait pas le sentiment d'aller au musée.
« Le cinéma faisait tout simplement partie de notre vie et ce qui me plaisait, c'était que justement ça puisse tout contenir, du film populaire francais au cinéma expérimental de Kenneth...
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