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le vieux monde qui n'en finit pas
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8 octobre 2009

Chez le médecin

Et si l'on ressortait sur les grands écrans les films de Pascal Aubier ? En trente-cinq ans (1965-2000), il a réalisé trois longs métrages (Valparaiso Valparaiso, Le Chant du départ et Le Fils de Gascogne*) et une brouette de courts plus drôles, raffinés, impertinents, élégants, incongrus, souriants, coquins, cocasses, immoraux et inoubliables les uns que les autres. Et si le club des machamoureux de Bruxelles se penchait sur la question ? Le spécimen qui suit, avec Macha Méril, Voltaire et Alain Delon, a été tourné en 1988. C'est un scénario du monstrueux Tonino Guerra. J'ai piqué ces trois petites minutes chez Doriane, éditeur de toute l'œuvre d'Aubier sur galettes numériques. En 35 mm, l'été prochain, ce serait tellement bien. (C'est tellement mieux que Le Petit Nicolas.)

* Auquel les volcaniques éditions Yellow Now (Crisnée) ont consacré un livre, en 1996. On le trouve encore. Cherchez bien.

[Salut encore à Bern.]

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Commentaires
M
Bonjour<br /> <br /> C'est bien Carmelo Petix que l'on voit dans ce court métrage
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M
Dans ce très drôle CM, j'ai bein cru reconnaître l'immense Carmelo Petix, assis dans la salle d'attente. L'un des hardeurs des années 1975-85 les plus délirants, vu dans quantité de pornos d'Alain Payet dans lesquels il finissait souvent travesti en danseuse espagnole. On le voit d'ailleurs aussi dans LE CHANT DU DEPART d'Aubier, sur l'écran de la salle porno où travaille ce cher Rémoleux, dans une scène N&B avec Joëlle Coeur...
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