Le niais de la semaine : Jacques Perrin
« Lorsqu'on est touché par des images d'animaux, le sentiment de protection devient impératif. D'une certaine façon, en faisant des films sur ce qui nous entoure, comme Océans, je continue à produire des films engagés, politiques, comme dans les années 1970-1980. »
Jacques Perrin, ex-acteur bien aimé, aujourd'hui producteur richissime de pâtisseries bio pour lardons interdits de PSP et vieillards précoces à la cervelle en compote de framboise : Microcosmos, Himalaya l'enfance d'un chef, Le Peuple migrateur, Le Peuple singe, Océans. Quand on se rappelle qu'il produisit Z (Costa-Gavras), Camarades (Karmitz), La Guerre d'Algérie (Courrière), L'Etrangleur (Vecchiali) et Le Désert des Tartares (Zurlini), on voit le chemin parcouru par ce confiseur mythomane et par, bien entendu, son public-cible.
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Perrin, quand il faisait du cinéma
(ici avec François Dorléac dans Les Demoiselles de Rochefort)