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le vieux monde qui n'en finit pas
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14 mars 2010

Le royal Tenenbaum

C'est à l'excellent nicocerise et à son alterégote ceriselibertine que je dois cette piqûre de rappel.

[on me pardonnera le jeu de mots andersonien du titre, si facile - pas pu m'en empêcher]

~

Laisse-moi sans crainte
Venir à genoux
Goûter ton absinthe
Boire ton vin doux
Ô rires et plaintes
Ô mots insensés
La folle complainte
S'est vite élancée

Défions le monde
Et ses interdits
Ton plaisir inonde
Ma bouche ravie
Vertu ou licence
Par Dieu je m'en fous
Je perds ma semence
Dans ton sexe roux

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Commentaires
N
Il m'a fallu apprendre le nom patronymique de Jean Ferrat puis me plonger dans la filmographie de Wes Anderson dont je n'ai vu que The Darjeeling Limited. Que de trous dans ma culture.
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L
Saperlipopette!!! Depuis hier, toutes les nouilles et autres œuvres du baladin de l'Ardèche semblent passées sous contrôle de "on ne sait qui"...<br /> <br /> Là, nous n'avons pas le son...<br /> On conçoit aisément qu'à l'heure de la burqa modérée les propos sibyllins soient châtiés sinon châtrés par tous les détenteurs de droits....<br /> <br /> Bref: Dans le silence des thons on imagine même mieux la chanson! <br /> <br /> Vive la "capuera"!<br /> <br /> Le texte est assez bon pour figurer aussi au patrimoine de l'anti-excellence que nous préconisons tout particulièrement.<br /> Aussi le "chipons-nous" pour l'afficher sur nos pages à l'intentions de nos "jeunes lecteurs et lectrices" moins timoréEs.<br /> Héhéhéhéhé.
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