
A l'occasion de la sortie de Si rien avait une forme, ce serait cela (Gallimard, 280 p., 22 €), la précieuse Aude Lancelin se fend cette semaine, dans Le Nouvel Observateur, d'un topo sur Annie Le Brun. Rappel.
« A son poignet minuscule, Annie Le Brun porte désormais deux montres noires. Deux Swatch adolescentes usées, identiques sauf par la taille. La grande, c'est celle du poète croate Radovan Ivsic, décédé à Noël dernier, avec qui elle vivait depuis plus de quarante ans. Quand le pire est arrivé, que reste-t-il?...
[Lire la suite]