
« Leur fou rire partagé ne laisse pas présager la tempête contestataire qui, en 1968, va s’abattre sur le Festival. Prenant le parti les trublions, Geraldine Chaplin s’accrochera au rideau d’écran du Palais avec Carlos Saura, son compagnon, pour empêcher la projection d’un film de celui-ci, Peppermint frappé, dont elle est l’interprète principale. Le Festival s’interrompra avant que Trilogy, tiré par Frank Perry de nouvelles de Truman Capote, ait pu être montré. » [Dans les coulisses de Cannes, Jean-Pierre Bouyxou, Glénat, 2010]...
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