26 juillet 2010

Willem Breuker Kollektief - Hapsap(Animal Locomotion, 1994)Willem Breuker : alto saxophoneAlex Coke : saxophone & flute, piccoloHermine Deurloo : saxophone & harmonicaAndy Altenfelder : trumpetBoy Raaymakers : trumpetBernard Hunnekink : trombone & tubaNico Nijholt : tromboneLorre Lynn Trytten : violinHenk de Jonge : piano & accordeonArjen Gorter : bassRob Verdurmen : drums Yutub provider : anthdb45 (des trésors !)

Et nous apprenons la mort de Willem Breuker, à Amsterdam, il y a trois jours. W.B. et Piet Kuiters (© Django Kuiters) ~ Des bios, des dates, des figures de style, des larmes de crocodile, vous en trouverez dans vos canards, s'ils daignent y penser. Je préfère vous inviter à lire ou relire ici l'article de Philippe Delvosalle sur la complicité que Breuker entretenait avec Johan van der Keuken, immense cinéaste hollandais. Cela commence ainsi : Alfred Hitchcock et Bernard Hermann, Federico Fellini et Nino Rota,... [Lire la suite]

On vit une époque formidable. Où l'on voit un ministre de l'Intérieur condamné pour injures raciales. Où le type s'incruste, au lieu de prendre sa retraite et de se désintégrer au fin fond de son Neuilly natal. Où le mec réapparaît quelques semaines plus tard pour attaquer en justice des sites d'information. Cette fois, c'est Jura Libertaire et Indymedia (Grenoble) qui serrent les fesses. Motif ? Voir plus bas. Comment tout ça va-t-il finir ? Mal. Voici l'info presque brûlante, je ne vous dis pas d'où elle vient, sans quoi... [Lire la suite]

« Vive Ravachol ! » (Georges Le Gloupier, 13 septembre 1945) ~ Ravachol avait écrit le texte qui suit pour le lire à son procès (juin 1892). Il va de soi qu'on lui refusa ce plaisir. Condamné à mort, il fut guillotiné le 11 juillet 1892 à Montbrison, département de la Loire. Ses derniers mots avant qu'on lui coupe la tête: « Si tu veux être heureux, nom de dieu / Pends ton propriétaire / Coupe les curés en deux, nom de dieu / Fous les églises par terre. » [ SOURCE ] ~ Si je prends la parole, ce n’est pas pour me... [Lire la suite]

Nosferatu, eine Symphonie des Grauens, 1922, F.W. Murnau