Dwoskin 1 noir-à-lèvres
Ces douze photogrammes de Take Me (Stephen Dwoskin, 1968) nous sont expédiés par Ph!l, piqué au vif par la remarque de Hédi Kaddour sur les points de suspension et le « rouge à lèvres qui bave un peu » -- le même Ph!l qui contribua avant-hier, avec un plan du rarissime Trying to Kiss the Moon nous informant de la mort du caudillo (cette ordure galonnée), à une de nos séries-maison. Personne, du coup, n'ignore plus notre talent pour les liens surnaturels et notre culte du hasard objectif. Ph!l, ça tombe re-bien, peaufine pour ces jours-ci un grand texte sur Stephen Dwoskin. J'espère le lui piquer au nez et à la barbe de son commanditaire, et le publier ici avant tout le monde. En attendant, on peut commander en médiathèque ou ailleurs ( ICI PAR EXEMPLE ) le début de l'intégrale Dwoskin en cours de publication. Et puis, en attendant le facteur, on éteint la lumière et on reste seul avec les images de Take Me. [Merci, Philippe !]