Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
le vieux monde qui n'en finit pas
le vieux monde qui n'en finit pas
Publicité
le vieux monde qui n'en finit pas
Visiteurs
Depuis la création 1 409 169
Newsletter
Derniers commentaires
27 septembre 2010

Marcel Mariën : L'Imitation pour tous

L'Imitation du cinéma en dévédé, le cadeau pour les fêtes

Couv_Marien2

~

Le mot de l'éditeur

Marcel Mariën (1920-1993) est un écrivain surréaliste belge, poète, essayiste, éditeur, photographe, cinéaste, créateur de collages et d'objets insolites. Il fonde en 1954 avec Jane Graverol, la revue Les Lèvres nues. Il dirige, avec Paul Colinet et Christian Dotremont, l'hebdomadaire Le Ciel bleu. Mariën fut un ami de toujours de Magritte. Et aussi de Nougé, Scutenaire, Queneau et Michaux.

L'Imitation du cinéma est un des seuls films qui puisse être qualifié de surréaliste après Le Chien andalou et L'Age d'or. Ce film fit scandale à sa sortie. Il a longtemps été interdit en Belgique comme en France. Il conte l'histoire d'un jeune homme qui pour avoir trop lu L'Imitation de Jésus-Christ, choisit de se faire crucifier... par imitation.

Histoire d'un film ignoble

En 1960, La Centrale catholique communique :

« Un film ignoble et infâme vient d'être présenté au Palais des Beaux-Arts de Bruxelles sous les auspices du "Ciné-Club de la Jeunesse" devant un nombreux public de jeunes gens et de jeunes filles. Le film en question est une parodie sacrilège du christianisme mêlée d'une obscénité qui dépasse toute imagination. On espère que le Parquet prendra les mesures nécessaires pour mettre hors de circulation pellicule indigne d'un pays civilisé. »

~

Dans ce coffret : le film sur DVD + interview de l'auteur + bonus.
Le livre joint contient une analyse du film et des textes de Marcel Mariën.

Infos et commandes: Jean-Claude Bonfanti, Editions La Maison d'à Côté, Bruxelles.
jcb[aaaaat]Lmac.be ou jcb[aaaaat]orange.fr

Marcel_Marien_Muette_et_aveugle

Publicité
Publicité
Commentaires
L
Mon clavier lâchement me lache:<br /> il fallait lire bien entendu: "Dérives urbaines" et non "rives..." "RIVES URBAINES" Hihihihihihi.....
Répondre
L
On lira, cela tiendra à nos temps eux-mêmes, avec un grand amusement le compte rendu de quelques flâneries de M.M que les situationnistes plus tard désigneront par "RIVES URBAINES"(Cf: Intro à la science de la dérive. Bureau de l'U.U) et en particulier: -" Le pas du Commandeur"....(in: Les lèvres nues)<br /> Ceci nous semble une bonne introduction à la découverte de Marcel...que nous saluons, au passage.<br /> Merci CH.T.<br /> S.
Répondre
Publicité