Son rôle que j'ai préféré : "L'Etrangleur de Boston" de Fleisher, en 1968 (?).
Oui, Fleischer 1968. Les Vikings, Fleischer itou, Spartacus dans lequel Laurence Olivier rêve de le mettre dans son lit mais loupé il s'évade, et avec Lancaster Le Grand Chantage (Mackendrick).
Pour Certains..., il raconta que s'il lève la jambe droite quand allongé sur le canapé Marilyn lui roule un super bécot, c'était pour dissimuler son érection, il demanda la permission (de lever la jambe...) à Wilder qui acquiésa en grognant. « Embrasser Marilyn, c'était... c'était comme embrasser Hitler. »???
Those we love…
Feeling gay, wreckless too… and a bit « Wilde » on the side… Après les séries du prime time, remettez-vous les Curtis qu’on aime voir. On les enregistrera pendant qu’on dort et on les regardera le lendemain à l’heure des séries.
Vous êtes sévère, John. En cherchant un peu, on trouve sur les petites lucarnes autant de séries gouleyantes que de films réussis dans la carrière de Tony. Même au prime time.