Et puisqu'il n'est pas de bon Noël sans odalisque ni nudité (rose, ou bleue),
en voici quatre dessinées par Matisse, encore, entre 1907 et 1935.
Toute fleur d´être nue est semblable aux captives
Qui font trembler les doigts par leur seule beauté
J´attends je vois je songe et le ciel qui dérive
Est simple devant moi comme une robe otée
(Ainsi parlait Petit Louis, en 1947.)
"Vous avez posé comme un ange, toutefois vous m'avez constamment échappé. Derrière l'écran formé par l'intérêt que vous preniez à mon action, je n'ai pu que vous deviner. Puis-je vous demander pour la prochaine séance de rentrer particulièrement en vous pour que j'observe un Aragon chez lui. Il suffira que vous repreniez un sujet de méditation favori. Avec l'espoir de pouvoir pénétrer chez un Aragon enfin seul. (...) La passion du coeur m'apparaît sur la face. La face ne ment point : c'est le miroir du coeur."