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le vieux monde qui n'en finit pas
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12 juin 2011

Ground Zero 1945, Hiroshima

Hiroshima: Ground Zero 1945
International Center of Photography
May 20–August 28, 2011



« After the United States detonated an atomic bomb at Hiroshima on August 6, 1945, the U.S. government restricted the circulation of images of the bomb's deadly effect. President Truman dispatched some 1,150 military personnel and civilians, including photographers, to record the destruction as part of the United States Strategic Bombing Survey.

The goal of the Survey's Physical Damage Division was to photograph and analyze methodically the impact of the atomic bomb on various building materials surrounding the blast site, the first "Ground Zero."

The haunting, once-classified images of absence and annihilation formed the basis for civil defense architecture in the United States.

This exhibition includes approximately 60 contact prints drawn from a unique archive of more than 700 photographs in the collection of the International Center of Photography. The exhibition is organized Erin Barnett, Assistant Curator of Collections. »

[ ICP, New York ]

hiroshima_4

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Commentaires
D
Bonjour, John. Là, vous me surprenez. <br /> A manier le couteau sans manche de Lichtenberg pour ferrailler avec l'idéalisme kantien, on peut se blesser.<br /> <br /> <br /> « On peut facilement demander à ces messieurs qui disputent de la conception de l'espace et du temps de Kant, ce qu'ils entendent par une connaissance authentique des objets et si, à tout prendre, une telle connaissance est possible. Tout ce que j'éprouve, n'est bien éprouvé que par moi et toute influence d'un objet hors de moi est vérité : que pouvons-nous vouloir de plus, nous, hommes ? C'est l'erreur radicale de ceux qui argumentent contre les représentations kantiennes de les considérer comme de l'idéalisme, ou bien de les tenir comme une tromperie de l'auteur de la Nature, dans le cas qu'elles soient vraies. Puisque toutes les choses de la nature sont en relation avec d'autres, que peut-il donc alors y avoir de plus réel que ces relations ? Lorsque je dis que les corps occupent un espace, je dis quelque chose de fort réel, puisque j'en parle en relation avec moi. Mais prétendre que les corps occupent un espace objectif est chose aussi déraisonnable que de leur prêter une couleur ou même un langage. - Si tout cela n'éclaircit rien, au moins y a-t-il une chose de claire, et c'est qu'il est peine perdue de vouloir réfuter Monsieur Kant. »<br /> (G. C. Lichtenberg, vers 1784-88)
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J
Dure réalité kantienne contre laquelle on ferraille avec une épée sans lame à laquelle il manque la poignée. Bon dimanche.
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