
repiqué sur le site de Noël Godin, cet éloge de « Dimitri », que je cosigne des deux mains
« L'âme damnée des éditions suisses de l'Age d'Homme, Vladimir Dimitrijevic, s'est tué en voiture le mardi 28 juin 2011 sur le parcours Lausanne-Paris, peut-être en s'endormant au volant car il connaissait bien la route et ce n'était pas un homme à fausses manoeuvres.
« Certes, comme on l'a trompeté dans les médias, Dimitri était certainement le tout dernier grand seigneur de l'édition sans concessions. Certes, il a fait beaucoup...
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