
« Un auteur téméraire s'avisera généralement de demander à son correcteur ce qu'il pense de son livre, sachant que ce dernier, à la différence d'un critique, ou d'un éditeur ou de sa femme (parfois néanmoins c'est la femme d'un auteur qui écrit ses livres), l'a entièrement lu. Voilà encore une situation dont, si le correcteur répond franchement et s'il a détesté l'ouvrage, rien de bon ne peut sortir et qui brouillera à mort les deux parties. Il se peut toutefois que le correcteur ait aimé le livre et le dise, mais ce cas de figure...
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