
« En entrant dans la cour, il vit que la porte de son atelier avait été forcée et le loquet arraché, et que tous ses effets personnels, un lit de camp et quelques draperies, gisaient là, déracinés de leur maison. […] Il franchit le seuil et découvrit l’ampleur du désastre. Ses tableaux, pourtant de bien modeste valeur, s’étaient volatilisés. […] Cependant, sa bibliothèque se tenait là dans la pénombre, mégalithe oublié d’un monde révolu. L’équilibre des vingt-sept volumes qui la composaient reposait sur un élagage savant auquel...
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