Pas question de rendre hommage ici au petit génie du marketing numérique universel (beurk), n'eût-il contribué comme pas un (sauf peut-être son copain et alter ego Zuckerberg**) à renforcer l'idiotie et l'asservissement planétaires à grands coups de machines-espions, de téléphones pédonculés et d'addictions métastatiques en tous genres.

On aura plutôt une pensée pour Charles Napier, l'acteur aux deux cents films (dont cinq avec Russ Meyer), qui vient de mourir discrètement à septante-cinq ans, à Bakersfield.

Good-bye Charlie, comme dirait l'autre, et Fuck you, Steve Jobs. 

 

extrait de Supervixens, 1976 (avec Shari Eubank)

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** Steve, merci d'avoir été un guide et un ami. Merci d'avoir montré que ce que l'on construit peut changer le monde. Tu me manqueras" écrit Zuckerberg [l'inventeur de la machine à braire FB] sur son compte Facebook qui compte plus de 6 millions de fans. Un message apprécié par plus de 232 000 personnes qui ont cliqué "I like".

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