août 2012

« Il mérite la mort mais, Dieu merci, nous n’avons pas la peine capitale et ce n’est pas à moi de l’introduire. Que mille hommes le bâtonnent par douze fois. » Le tsar Nicolas 1er à propos de l’étudiant qui avait attaqué son professeur (in Hadji Mourad, 1812, roman posthume de Léon Tolstoï – cité par Robert Littell en exergue des Larmes des choses, 1988) Steve Reeves dans Agi Murad, il diavolo bianco (Riccardo Freda, 1959)

Entre deuxième et troisième vision de Holy Motors, une lampée de Sparks qui nous secoue les puces (How Are You Getting Home). Pour la scène où Denis-déguisé-en-Léos se met à la gauloise verte pour une conversation frissonnante papa-fifille, dans une R6 pourrie, avec Nastya Golubeva Carax.   [merci à Didier, qui a trouvé le bon fichier]

Raminagrobis, qui a beaucoup de chance, consacre son été à la relecture des Œuvres anthumes d'Alphonse Allais (1854-1905). Il m'envoie ces deux remarques du maitre de Honfleur, qui me font un immense plaisir. « A Georges Darien, auteur de cet admirable Voleur qu'on devrait voir dans toutes les mains vraiment dignes de ce nom. » [dédicace d'un Conte de Noel, in Pour cause de fin de bail, p.918.] « ... Ainsi que Clemenceau le fait pour la Révolution, j'admets la Commune en bloc, et je professe à l'égard de... [Lire la suite]