Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
le vieux monde qui n'en finit pas
le vieux monde qui n'en finit pas
Publicité
le vieux monde qui n'en finit pas
Visiteurs
Depuis la création 1 409 298
Newsletter
Derniers commentaires
15 avril 2013

Jugements choisis...

Lu sur le blog de Jules (clic), un atterrant/réjouissant florilège de

Jugements choisis concernant Guy Debord et classés selon leur motivation dominante
[Ordures et décombres déballés par différentes sources autorisées depuis  l’exposition Guy Debord à la BnF. Mise à jour au gré des arrivages.]

En voici quelques specimens :

 

La bêtise

À la BNF François-Mitterrand débute aujourd’hui une exposition des archives de l’écrivain gourou.
Frédérique Roussel, Libération (27-3-13).

L’époque était aux gourous: Sartre, Barthes, Lacan, Debord… C’était un temps où les écrivains ne fondaient pas une œuvre, mais une secte… Ainsi Guy Debord fonda-t-il coup sur coup l’Internationale lettriste (1952-57) et l’Internationale situationniste (1957-1972).
JA, La Liberté (13-4-13)

Le soulagement prématuré

Et si tout cela n'avait été qu'un gigantesque canular ? Et si le situationnisme n'était qu'une plaisanterie de haut vol, un surréalisme sans poésie, un cinéma sans spectateurs, un marxisme cantonné à la cour de la Sorbonne ? Et si, enfin et surtout, toute cette aventure collective n'avait été que le masque d'un seul homme, Guy Debord (1931-1994), « le plus fameux des hommes obscurs », comme il se dépeint lui-même dans cette belle langue héritée du cardinal de Retz ? [...]
Jérôme Dupuis. L’Express (5-4-13)

Le confusionnisme spontané

En 1993, Michel Hazanavicius réalise Le grand détournement: on comprend pourquoi il l'a dédié à Guy Debord.
Jennifer Lesieur. Métro (27-3-13)

[...] Tout de même, cet air de famille a quelque chose de troublant qui ne pouvait que stimuler le mauvais esprit de Causeur. Voici Barbey et Debord communiant dans la même détestation de leur époque respective. Est-ce à dire que Barbey d’Aurevilly le monarchiste était un "situ" ? Et Debord le révolutionnaire, un antimoderne ? [...]
Jérôme Leroy. Causeur (7-4-13)

Le confusionnisme intéressé

Ses façons de procéder sont absolument différentes des miennes – je n'ai pas choisi, comme lui, la position du retrait, plutôt celle de l'utilisation à haute dose de la technique médiatique, mais le but est le même.
Philippe Sollers. Télérama (26-3-13)

La calomnie démesurée

Les arguments biographiques contre Guy Debord de Gérard Guégan, qui l'a bien connu, sont évidemment convaincants (…) C'est vrai qu'il y a un petit côté farceur chez lui - sur ce point, Régis Debray n'a pas tout à fait tort.
Sébastien Lapaque. Le Figaro (26-3-13)

Publicité
Publicité
Commentaires
L
Sollers, là, il fait fort, l'enculé ! ! !
Répondre
Publicité