23 mai 2013
Lectures pour tous : Robert Louis Stevenson
« Camarades, cria-t-il, je suis ici pour avoir cette marchandise, et je ne me laisserai battre par homme ni diable. Je n’ai jamais eu peur de Flint durant sa vie, et, par les puissances ! je l’affronterai mort. Il y a sept cent mille livres à moins de quatre cents mètres d’ici. Quand un gentleman de fortune a-t-il jamais montré sa poupe à tant de dollars, pour un vieux marin à la gueule bleue, – et mort, encore ! »
Robert Louis Stevenson, L'île au trésor, 1881
[traduction française de Théo Varlet, Presses-Pocket]
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