
Deux extraits choisis au hasard dans le livre de souvenirs de Marcel Ophuls, Mémoires d’un fils à papa (Calmann-Lévy, 2014): une évocation du dadais Karl Valentin (déjà cité ici, précisément le jour de la Saint-Valentin) et une croustillante histoire juive new-yorkaise de l'après-guerre. Le dernier film d’Ophuls, Un voyageur (Cannes 2013), devrait quant à lui parvenir bientôt sur nos écrans.
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La véritable vedette de La Fiancée vendue était ce grand clown bavarois de Karl Valentin. [Il a été un des maîtres d’un autre grand Bavarois,...
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