
« Nommez donc, si votre âme est basse, inconscience le mouvement qui porte l’enfant de quinze ans au délit ou au crime, moi je le nomme d’un autre nom. Car il faut un fier toupet, un beau courage, pour s’opposer à une société aussi forte, aux institutions les plus sévères, à des lois protégées par une police dont la force est autant dans la crainte fabuleuse, mythologique, informe qu’elle installe dans l’âme des enfants, que dans son organisation. Ce qui les conduit au crime, c’est le sentiment romanesque, c’est-à-dire la...
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