Nos films préférés en 2014 : Gérard Lecas
« True Detective », série américaine écrite par Nic Pizzolato.
Retrouver sur une chaîne privée américaine la liberté de ton et l’audace qui étaient
autrefois l’apanage du cinéma indépendant américain.
Et pour l’incomparable gueule charismatique de Woody Harrelson.
« Ainsi soient-ils », série française diffusée sur Arte.
Pour ne pas désespérer tout à fait de la télé française.
Napoli, Napoli, Napoli, d’Abel Ferrara (Italie, 2009).
Pas la peine si vous ne comprenez pas l’italien.
Geronimo, de Tony Gatlif (France, 2014).
Gatlif mais pas gâteux.
The Homesman, de Tommy Lee Jones (États-Unis, 2014).
Que des films faits par des vieux, jusque-là.
The Grand Budapest Hotel, de Wes Anderson (États-Unis, 2014).
La classe.
Mommy, de Xavier Dolan (Canada, 2014).
Le petit Canadien agaçant mais sympa a frappé fort.
On peut quand même quitter la salle au bout d’un quart d’heure.
Party Girl, de Claire Burger, Marie Amachoukeli, Samuel Theis (France, 2014).
La preuve qu’on peut oublier pas mal de codes du cinéma
et parvenir quand même à faire un beau film.
Whiplash, de Damien Chazelle (États-Unis, 2014).
Pas si nombreux les films sur l’apprentissage de la musique.
Bien sûr c’est l’apprentissage de la vie en général.
Adieu au langage (Suisse-France, 2014).
Je ne l’ai pas vu mais opération de pur lèche-bottisme,
notamment vers mon ami Charles T. qui embrasse tous les soirs
la photo de JLG au-dessus de son lit.