16 mai 2015
Le Syndrome de Groat
On se sent drôle. Entre morosité de saison (diable, les commentaires qui nous viennent de Cannes sont de plus en plus tristes et infantiles, depuis quelques années) et inexplicable nervosité (comme si on avait bu cinq tasses de café). On craint de se faire un accès de maladie de Groat. C'est peut-être grave. Attendons les symptômes véritables, et on appellera Larry David, on ne sait jamais.
[Je dédie affectueusement ce petit post à Michael Richards, comme il se doit.]
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