
La presse culturelle aime les prolétaires. Les Inrockuptibles nous en fournissent cette semaine une preuve assez ridicule, avec le portrait d’un cinéaste dont le premier long métrage vient de sortir :
« Poignée de main solide, sourire franc du collier, discours cash, Pascal Tessaud arbore cette franchise simple et chaleureuse qui est la noblesse de la classe ouvrière. »
Pas un mot de trop. C’est beau comme du Joris Ivens revu par les services de Jdanov. On sent que le critique mouille son pantalon, lui qui n'avait pas vu...
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