
A Bologne (Il cinema ritrovato, 31e), c'est presque la mi-temps. On a fait le tour de l'hommage à Samuel Khachikian, l'Arménien de Téhéran, fou furieux d'un cinéma de genre oublié là-bas depuis l'arrivée des mollahs, film noir, horreur, mélodrame à orphelines, gangster movie et documentaire permanent de l'Iran - société de classes sous dictature, en cours d'industrialisation dans les années cinquante et soixante -, abusivement baptisé l'Alfred Hitchcock iranien (son cinéma évoque plutôt celui de William Castle ou d'un Roger Corman qui...
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