
Approchant de la fin du formidable Taba-Taba, et revenant à Mindin et Saint-Nazaire après un détour de quatre cent vingt pages pleines de l’infernale érudition géopolitique de Patrick Deville, nous tombons sur ces quelques lignes de Malcolm Lowry (Ultramarine) : « Qu’est-ce donc qui, toujours, nous attira vers les docks ? Souvent déserts, hormis quelques bateaux de pêche, un ou deux chalutiers, mais nous aimions les odeurs de ces lieux, et les bruits. Le pont basculant, le coup de sifflet du gardien des docks, la...
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