
... ce dont témoignent ces fragments de Mon dernier soupir(Luis Bunuel, Éditions Robert Laffont, 1982).
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« Je n’aime pas beaucoup les aveugles, comme la plupart des sourds. Un jour, à Mexico, j’ai vu deux aveugles assis côte à côte. L’un était en train de masturber l’autre. Je fus quelque peu frappé par cette rencontre. [...]
« Parmi tous les aveugles du monde, il en est un que je n’aime pas beaucoup, c’est Jorge-Luis Borges. Qu’il soit un très bon écrivain, c’est évident, mais le monde est rempli de bons écrivains. Au...
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