
La belle utopie d’Alex Pina, La Casa de Papel, qui commence comme un film de braquage un peu incongru (pour faire court: entre Asphalt Jungle et The Heist, sous le soleil de Madrid) s’achève, une vingtaine d’heures plus tard, comme un réjouissant tract anti-banques et un éloge de la solidarité de classe grâce à la réappropriation individuelle et à la douceur de l'amour-toujours. Ça nous change des sinistres « dystopies » qui se multiplient ces jours-ci pour, au final, habituer le populo au spectacle de la résignation (le...
[Lire la suite]