
"Sergio Corbucci (1927-1990), écrit Jean-François Rauger dans sa présentation, est l'un des inventeurs du western italien qu'il enrichit d'idées baroques (Django, 1966 ; Le Grand silence, 1968) quand il n'en fait pas le vecteur d'un discours anti-impérialiste (sa série « révolutionnaire » : Le Mercenaire, Compañeros). Le cinéaste a pourtant débuté dès les années 1950, servant jusqu'aux années 1960 les genres à la mode comme la comédie (Les Deux Maréchaux, avec Totò) ou le péplum (Romulus et Rémus, Le Fils de...
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