
Ce qui est fou, avec les courses de vélo, c'est le nombre de gras-du-bide.e.s en casquette tricolore et en automobile, qui s'agglutinent au mépris du savoir-vivre, de la beauté de la nature, de la quiétude des oiseaux et des règles de sécurité (ah, les risques d'incendie en ces jours de petite canicule) pour agiter des drapeaux, acheter à prix d'or des T-shirts à la gloire d'Amaury et boire de la bière tiède en grignotant des merguez. Un exemple, ici : un fragment de GR dans une commune du Sud breton, que le Tour de France traversa en...
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