
« Je ne condamne pas la violence de ceux que les destructeurs de la vie et de son environnement appellent "casseurs", je réprouve seulement l’inconséquence d’une telle rage. Oui, elle atteint, à la lueur des cocktails Molotov, à de brefs éclats de lucidité jubilatoire. Oui, elle rompt par ses cris l’ennuyeux ronron d’une survie programmée. Dans la liberté qu’elle s’octroie, elle soupçonne qu’une autre vie est possible. Avec moins d’angoissante frénésie, avec un meilleur discernement, le "casseur" s’offrirait des satisfactions...
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