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« Ces films – qui, en une langue inconnue, nous content des histoires totalement étrangères à nos mœurs ou habitudes – nous parlent en effet un langage familier. Lequel ? Le seul auquel doive somme toute prétendre un cinéaste: celui de la mise en scène. Si la musique est idiome universel, la mise en scène aussi : c’est celui-ci, et non le japonais, qu’il faut apprendre pour comprendre “le Mizoguchi”. Langage commun, mais porté ici à un degré de pureté que notre cinéma occidental n’a jamais connu...
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