
Vivement le 20 août. On peut écrire aux zigomars de La Grange Batelière pour les encourager
Le mot de la quatrième :
« En 1972, un jeune éditeur de vingt-huit ans prend contact avec un écrivain un peu oublié qui en a soixante-trois. L’un est un passionné, à la recherche d’incunables publiés sous pseudonyme, l’autre un sauvage qui, cependant, se pique au jeu, et voit renaître une part oubliée de son œuvre. Au "Cher Monsieur" des premiers échanges succède vite un "Mon vieux Guérif", qui devient une tradition. François Guérif sera...
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