
« Les plaisirs de la chasse ne sont plus aussi courus qu’autrefois, et cela tient sans doute à ce que le gibier devient rare. [...] Mais il est également croyable que cette défaveur est liée au prestige même du chasseur, qui a considérablement diminué depuis quelques années. Jadis, [...] la chasse passait encore pour le plus noble d’entre les mâles travaux. Les femmes regardaient avec orgueil les silhouettes héroïques des époux qui s’en allaient, guêtrés et le fusil en bandoulière, chercher l’aventure d’où ils reviendront la nuit...
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