
"Dans le Jardin de Diane, au château de Fontainebleau, la tristesse de ces chiens, condamnés à pisser éternellement"
écrivait Jacques Drillon dans une de ses dernières chroniques [septembre 2021].
Et puis (même si ça n'a rien à voir) :
"Le contraste entre la poésie du prix Nobel Bob Dylan, précieuse, recherchée, travaillée, souvent obscure, et l’éprouvante vulgarité de sa musique."
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Critique musical cruel, verbicruciste raffiné et grammarien de haute tenue, Jacques Drillon est mort le jour de Noël. Son Traité de la ponctuation...
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