
« Pour nous, le paysage se réduit à ce que nous laisse voir la fenêtre de cet établissement miteux: un bassin à l’abandon, empli d’une eau sale et stagnante, dans lequel flotte dos à l’air une poupée décapitée, de la taille d’un petit enfant, entièrement vêtue. [...] La tristesse de cette chambre lamentable, jointe à l’image obsédante de la poupée sans tête, voilà qui pourrait devenir aussi déprimant que le thème d’un film dont nous avions parlé à l’occasion d’un festival de Cannes, il y a quelques années. Je ne me rappelle plus...
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