
Chaque nouveau livre de Jean Rolin tient les promesses de l’auteur. Dépaysement assuré (même si, cette fois encore, on ne s’éloigne guère de Paris), érudition faussement naïve à la Vialatte, et le plein de trouvailles rigolotes ou cocasses. Cet automne, c’est La traversée de Bondoufle, paru chez POL.
« Des prairies [...] dont on aimerait pouvoir écrire qu’elles sont pues par des vaches, comme c’est le cas, si le dictionnaire ne nous assurait que ce participe passé du verbe paître n’était usité qu’en fauconnerie (d’ailleurs, à...
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