
On lira dans le numéro de janvier 2023 du Monde diplomatique un article érudit de Bernard Eisenschitz sur Douglas Sirk, sur ses racines berlinoises et sa trajectoire hollywoodienne, interrompue abruptement à la fin des années cinquante. Ce qui incitera peut-être quiconque ne connaît pas encore ce cinéaste majeur à se pencher sur ses films et à lire Douglas Sirk, né Detlef Sierck, la brique qu'Eisenschitz a publiée cette année aux éditions de l’Œil. Où l'on pourra constater que l'histoire critique du cinéma de haute tenue (ou la...
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