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On ne l'a pas encore lu [ça ne tardera pas], mais on en a entendu parler. *** LE FILM

On démarre avec elle. Paul Lay (piano), Yoni Zelnik (contrebasse), Gautier Garrigue (batterie), décembre 2018

Gina Lollobrigida, La Romana, Luigi Zampa 1954

Resan (Le voyage), 1987

« Ce couple mélancolique, à perpétuité confiné dans une cellule oblongue, est exclusivement chargé de la reproduction. Le roi, sorte de prince consort, est minable, petit, chétif, timide, furtif, toujours caché sous la reine. Cette reine représente la plus monstrueuse hypertrophie abdominable que l’on trouve dans le monde des insectes où cependant la nature n’est pas avare de monstruosités. Elle n’est qu’un gigantesque ventre gonflé d’œufs à en crever, absolument comparable à un boudin blanc d’où émergent à peine une tête et un... [Lire la suite]

James Mason et Sue Lyon, Lolita (Stanley Kubrick 1962)

Not far from here Uli Kempendorff (ts), Julia Hülsmann (p), Marc Muellbauer (dbl b), Heinrich Köbberling (dms), ECM 2019

Jeanne Moreau, par Jack Garofalo 1953

"Un morceau de pain sec et la tranquillité valent mieux qu'un bon repas dans une maison pleine de disputes." [Proverbes, 17:1] [John Brown, in Pourfendeur de nuages, Russell Banks 1998]

[Piqué dans Libération, 24/12/2019] [Merci JiPé] par Florence Burgat, philosophie, directrice de recherche à l'Inra Dans l’Avenir d’une illusion, Freud qualifie la religion de "névrose obsessionnelle universelle de l’humanité". Ainsi, en ne parvenant pas à se défaire d’une relation à une altérité toute-puissante, l’humanité n’accède pas à son autonomie et demeure fixée à un stade infantile. Empruntée, son identité s’inscrit dans une dépendance qui s’ignore cependant comme telle. Obsessionnelle est encore cette névrose car elle... [Lire la suite]