arnold

avec Julie Adams... J'apprends avec une profonde tristesse la mort, à Southwest Ranches, de Ricou Browning. Ses films les plus connus sont le génial Creature from the Black Lagoon (Jack Arnold 1954) et ses suites, Revenge of the Creature (Jack Arnold 1954) et The Creature Walks Among Us (John Sherwood 1954). Il s'était aussi pas mal occupé de Flipper le dauphin. Il était né en Floride en 1930. Il avait donc presque 93 ans. ... et entre deux prises ~

Mes chouchous de 2022 1.    Quelques films (dans l’ordre où je les ai vus, revus ou re-revus) Sadko [Le Tour du monde de Sadko], Alexandre Ptouchko (URSS, 1953) King Kong, Merian C. Cooper et Ernest B. Schoedsack (États-Unis, 1933) Tales of Manhattan [Six destins], Julien Duvivier (États-Unis, 1942) Duel, Steven Spielberg (États-Unis, 1971) In Cold Blood [De sang froid], Richard Brooks (États-Unis, 1967) Great Expectations [Les Grandes Espérances], David Lean (Royaume-Uni, 1946) Moulin Rouge, John Huston... [Lire la suite]

Serre moi fort, Mathieu Amalric (France, 2021) Les Passagers de la nuit, Mikhaël Hers (France, 2021) In den Gängen [In the Aisles], Thomas Stuber (Allemagne, 2018) Beo-ning [Burning], Lee Chang-dong (Corée du Sud, 2018) Yè chē [Train de nuit], Diao Yi’nan (Chine/France, 2007) Dog, Andrea Arnold (Royaume-Uni, 2001) Tout le monde aime Jeanne, Céline Devaux (France/Portugal, 2022) The Bear, 1e saison, Christopher Storer (États-Unis, 2022) Reservation Dogs, 1e saison, Sterlin Harjo et Taika Waititi (États-Unis, 2021) Vers... [Lire la suite]

Évidemment, peu ou pas de films en salles pour l’année du confinement (la première année du confinement ?). Il a fallu se rabattre sur le formidable Criterion Channel (qui n’est pas, je le crains, disponible en Europe), ou, épuisés par les frasques de nos deux lutins de trois et six ans et tombant de sommeil au bout d’une demi-heure, sur des séries du souvent navrant Netflix. N’empêche qu’il y a, même en ce lieu, d’inspirantes pépites. À commencer par un des seuls goûts cinématographiques que je partage avec ma fille, les... [Lire la suite]

Carry On / Atelier d’expression (Dakar) ~ American Honey, Andrea Arnold, USA 2016 120 battements par minute, Robin Campillo, France 2017 Atelier d’expression (Dakar), Friedl vom Gröller, Autriche/Sénégal 2016 Là est la maison, Victor De Las Heras & Lo Thivolle, France 2017 Carry On, Mieriën Coppens, Belgique 2017 Toivon tuolla puolen [L’autre côté de l’espoir], Aki Kaurismaki, Finlande 2017 Moonlight, Barry Jenkins, USA 2016 Barbara, Mathieu Amalric, France 2017 L’Atelier, Laurent Cantet, France 2017 ~ ... [Lire la suite]

1. American Honey, Andrea Arnold, UK 2016 2. Moonlight, Barry Jenkins, USA 2016 3. 120 battements par minute, Robin Campillo, France 2017 4. Visages, villages, Agnès Varda et J.R., France 2017 5. Manchester by the sea, Kenneth Lonergan, USA 2016 6. Good Time, Josh et Benny Safdie, USA 2017 7. Barbara, Mathieu Amalric, France 2017 8. Nelyublov [Faute d’amour], Andreï Zviaguintsev, Russie 2017 9. You Were Never Really Here [A Beautiful Day], Lynne Ramsay, UK 2017

American Honey, de Andrea Arnold, Royaume-Uni 2016 Parasol, de Valéry Rosier, Belgique 2015 Free to run, de Pierre Morath, Belgique-Suisse 2016 Nocturama, de Bertrand Bonello, France 2016 Moonlight, de Barry Jenkins, États-Unis 2016 Ma Loute, de Bruno Dumont, France 2016 Bacalaureat, de Cristian Mungiu, Roumanie Elle, de Paul Verhoeven, France 2016 O ornitologo, de João Pedro Rodrigues, Portugal 2016 *** Et trois visages inoubliables Sasha Lane (American Honey) Raph (Ma Loute) Trevante Rhodes (Moonlight)

Milk, 1997 Dog, 2001 Wasp, 2003

Pamela Tiffin, tournage de The Lively Set (Pleins Phares, Jack Arnold 1954)

Mon précieux camarade Jean-Pierre me permet de découvrir un série de clichés magnifiques. Il s'agit de photos de tournage (en couleur) de Creature of the Black Lagoon, de Jack Arnold. Elles font partie d'une collection retrouvée dans les archives de Life, puis soigneusement restaurée (CLIC). Pour qui restaurer ne veut rien dire, voir ICI les photos avant nettoyage: avec le passage du temps, elles étaient devenues quasiment monochromes. Avec un clin d'oeil à la bien aimée Julie Adams, et le coup de chapeau habituel à Ben Chapman... [Lire la suite]