bénazéraf

J'apprends la disparition de Janine Reynaud (1930-2018), qui fut mannequin et actrice de cinéma. « Il fut un temps, déjà lointain (c’était en 1973-1974), où j’ai failli réaliser un Frankenstein dont elle aurait eu le premier rôle féminin (celui de la créature). Les deux producteurs successifs (l’un et l’autre belges) se sont dérobés. Le beau rêve s’est effondré, le film ne s’est jamais fait. Mais le scénario est devenu Frankenstein de filles en aiguille, un des petits romans de cul que j’ai commis à La Brigandine… Dans cette... [Lire la suite]

[Jean-François Rauger m'envoie ce portrait post mortem de José Bénazéraf, disparu le 1er décembre dernier. Le Monde daté du 12/12 en a publié une version écourtée.]   José Bénazéraf Un cinéma du désir   Il avait été surnommé l’Antonioni de Pigalle. Derrière ce bon mot un peu facile, ce raccourci un peu trop malin, il y avait une part de vérité. N’avait-il pas incarné la rencontre de l’érotisme avec une certaine forme de modernité cinématographique ? Son histoire n’est pas seulement celle d’un certain cinéma... [Lire la suite]

Drôlissime. De quoi faire râler féministes, curetons et autres pisse-vinaigre. Le cadre, disait José Bénazéraf, est affaire de morale. http://www.galumpia.co.uk/adult/adult_2.htm# [Trouvé le lien de ce galumpia de malheur sur le blog d'Antoine, sacré Québecois un peu poète, chez qui l'on fait d'excellentes rencontres. Allez-y voir en cliquant sur son nom.]