
Il fut un temps où on pensait communément que la même espèce de répugnante vénération était attachée à la personne du Grand Lama du Tibet. Maltebrun l’affirme en des termes sans ambiguité: «C’est un fait certain, on recueille avec un soin religieux le produit de ses excrétions, qu’on emploie comme amulettes et comme remèdes infaillibles contre la maladie.» Et il ajoute, citant Pallas, livre I, p.212: «Il est hors de doute que le contenu de sa chaise percée est dévotement recueilli; les parties solides sont distribuées pour être...
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