26 décembre 2014
Ai-je échappé à un fou du djihad pinardier ?

17 décembre 2014
Ed Askew : Too Many Feet

03 décembre 2014
Vitrines analphabètes

02 décembre 2014
Kész az Egész
La fin d'un festival, nécessairement triste, nous fait un peu le même effet qu'une mélodie de Vigh Mihaly dans un film de Béla Tarr.
En attendant la 37e des Trois Continents, je dédie cette interprétation de Kész az Egész, "Tout est fini", par Vali Kerekes (Damnation, 1988) aux compères qui nous ont accueillis/invités à Nantes cette année, nous ont honorés de leur amitié et de leur patience, de leur générosité et de leur gentillesse, sans parler des chocs induits par quelques films inoubliables (tournés aujourd'hui, hier ou... [Lire la suite]
02 décembre 2014
Irréfutable : Hong gagne à Nantes
Nantes 36e, un jour de la fin, palmarès. La maison SAVM est très reconnaissante et très fière des sélectionneurs nantais Charlotte Garson et Jérôme Baron qui nous ont montré le Hong Sang-soo de 2014, le génial et jubilatoire Ja-yu-eui eon-deok (Hill of Freedom). Elle est également très reconnaissante et très fière du jury mené par Aurélie Godet, Nadav Lapid et leurs comparses, qui ont décerné une Montgolfière d'or au même Hill of Freedom. Palmarès irréfutable, le film de Hong étant de très loin le meilleur de tous ceux présentés en... [Lire la suite]
28 novembre 2014
La Malagueña
Enamorada (1946), lointaine adaptation de La mégère apprivoisée [où Emilio Fernandez montre sa préférence, aux dépens de la lumineuse Maria Félix, pour le duo de college buddies que constituent le beau militaire nationaliste (Pedro Armendariz) et le curé incarné par son propre demi-frère, Fernando Fernandez], illustre l'adage de Samuel Fuller, "un mélodrame, c'est un drame plus de la musique". Le drame, c'est l'amour longtemps empêché des deux protagonistes sur fond de guerre civile mexicaine (1821, au lendemain de l'indépendance du... [Lire la suite]
26 novembre 2014
Pérennité du burlesque pileux

26 novembre 2014
Que viva la salsa !
Repost d'un message du 14 juillet dernier. Je rappelle que nous verrons ce soir Andrés Caicedo, unos pocos buenos amigos (Katorza, 18h30) en présence de Luis Ospina, son réalisateur. Le poète, lui, s'est suicidé à l'âge de 25 ans, en 1977.
~
Avec un clin d'oeil à Jérôme Baron, sans qui j'ignorerais encore l'existence de Andrés Caicedo (1951-1977), le petit Rimbaud de Cali. Et sans la lecture de Que viva la musica !, Traversé par la rage et La mer, je ne me serais peut-être pas remis à la salsa.
« Guaguanco raro »
~
« Guaguanco... [Lire la suite]
26 novembre 2014
Lectures pour tous : Andrés Caicedo, et les films de Luis Ospina

21 novembre 2014
Demain, Action Painting au palais de justice de Nantes
