clair

Dans l’ordre de leur (re)découverte Enter the Dragon [Opération Dragon], Robert Clouse (Hong Kong/États-Unis, 1973) Kiss Me, Stupid [Embrasse-moi, idiot !], Billy Wilder (États-Unis, 1964) Coffy [Coffy, la panthère noire de Harlem], Jack Hill (États-Unis, 1973) Le Million, René Clair (France, 1931) The Tomb of Ligeia [La Tombe de Ligeia], Roger Corman (États-Unis/Royaume-Uni, 1964) Falstaff – Campanadas de medianoche [Falstaff, ou Chimes at Midnight], Orson Welles (Suisse/Espagne, 1965) Terror at Orgy Castle, Zoltan G.... [Lire la suite]

Dany Carrel dans Porte des Lilas, René Clair 1957

Sous les toits de Paris (René Clair, 1930) L'actrice roumaine Pola Illéry a collectionné pendant une décennie (à cheval sur l'arrivée du parlant) les rôles de jolies filles sexy, voire délurées, voire "de mauvaise vie". De passage à Paris, elle tourne avec Valentin et Prévert, Cavalcanti (Le Petit Chaperon rouge !), Chenal, Clair, fait frissonner d'amour le fasciste Brasillach. Retour à Berlin, elle est dans Le Tigre du Bengale et Le Tombeau hindou, version Eichberg... [Lire la suite]

Formidable, l'importance de la presse écrite dans Porte des lilas (René Clair, 1957), d'après un roman de René Fallet. Pierre Brasseur, Raymond Bussières, Dany Carrel, Georges Brassens, les piliers du café et même les gosses de l'école suivent dans France-Soir,  Le Parisien et Détective les pérégrinations hautement criminelles de Henri Vidal -- qui est planqué  durant tout le film, dans une cave à un pâté de maisons du bistrot. Un remake serait financé aujourd'hui par les marchands de SMS. Nettement moins cinématographique. ... [Lire la suite]