cohen

Avishai Cohen Trio

The Invaders It's Alive

L'homme du jour se nomme Sacha Baron Cohen. Il n'est ni footballeur, ni coureur cycliste.

Le prochain zigomar qui, s'abandonnant à d'insupportables facilités langagières, lancera que George Michael est allé "rejoindre" Leonard Cohen, Paul Bley et Fidel Gastro, avec lesquels il improvise en cet instant même un quadrille soutenu par les chœurs de l'ex-Armée rouge, se verra infliger une fessée à la branche de houx. [Plein de mercis à Max Ernst, ce vieux mécréant]

Leonard Cohen, toujours là où l'on ne l'attend pas. Générique d'ouverture de True Detective (Saison 2), de Nic Pizzolatto

« Mes amis, ma chevelure a perdu de son éclat. D’or elle est devenue cendres. Non que quiconque puisse le voir aujourd’hui, à l’heure où je fais ce récit, car ces cheveux ont toute une histoire. Sur ma peau, toujours bronzée auparavant, sont apparues des plaques bleuâtres comme des écailles. J’ai passé au moins trois jours dans un état vraiment épouvantable; je courais comme un animal qui cherche à retrouver de l’énergie et j’acceptais les propositions les plus incohérentes pour m’ouvrir de nouvelles possibilités. C’est comme ça... [Lire la suite]

Et... hop ! "Nevermind" (de l'album Popular Problems) ~ The war was lost The treaty signed I was not caught I crossed the line I was not caught Though many tried I live among you Well disguised I had to leave My life behind I dug some graves You'll never find The story's told With facts and lies I had a name But never mind Never mind Never mind The war was lost The treaty signed There's truth that lives And truth that dies I don't know which So never mind Your victory Was so complete That some among you Thought to keep A record... [Lire la suite]

J’ai beau me creuser la tête, il semble bien que j’ai vu bien peu de nouveaux films intéressants en salle en 2013. S’il faut en nommer, je dirais Blue Jasmine de Woody Allen et Inside Llewyn Davis des frères Coen: de bons films, riches, mais des films de peu de relief, qui portent bien la défaite de leurs histoires. La vraie découverte, dans un genre assez contemplatif, aura été le Museum Hours de Jem Cohen, avec Mary Margaret O’Hara et Bobby Sommer. Jem Cohen avait déjà fait bien de belles choses, dont les projections qui... [Lire la suite]

Brüno énerve les censeurs ukrainiens. Le film (drôlissime) de Sacha Baron Cohen risquerait, dit-on en effet à Kiev, de «porter préjudice à la moralité» des citoyens de cette grande république céréalière. En vertu de quoi le ministre local de la culture vient d'en interdire les projections dans son pays. S'agirait-il d'une provocation antisémite dans la tradition historique de la région? [Les démocrates de la révolution orange n'ont-ils pas élevé une statue -- en décembre 2006 précisément, au coin de la rue Volodimerska et de... [Lire la suite]