
« [...] Une amitié qui devait se poursuivre, de temps en temps, par nos repas chez Debord où les commérages allaient bon train: "Tu as entendu ce qu’untel nous a sorti ? C’est inadmissible..." On savait quel serait le prochain exclu. Je ne sais plus qui, un jour, s’était étonné de notre passion pour le film Viva Villa !, et Debord de s’exclamer après son départ: "Non mais tu as entendu ce con, il n’aime pas Viva Villa !" Quinze jours plus tard, il tombait sous le coup du manquement à la radicalité et était...
[Lire la suite]