11 janvier 2017

Nos films préférés en 2016 : Vinz J. Orlof

Bilan Trois films irrigués, me semble-t-il, par les idées situationnistes Pour la critique radicale de la réification et l’analyse astucieuse des enjeux du terrorisme : Nocturama, de Bertrand Bonello.   Pour la manière de détourner les rôles assignés et de se réapproprier le quotidien :– soit par l’excentricité : Toni Erdmann, de Maren Ade.  – soit par la poésie : Paterson, de Jim Jarmusch. Quatre magnifiques portraits de femmesEn solo : Aquarius, de Kleber Mendonça Filho ;... [Lire la suite]

31 août 2015

Wes Craven (1939-2015)

S'agissant du cinéma "de genre" contemporain, Craven et son cinéma illustraient formidablement, autant que Mann, Sirk et Fuller, les propos de Jean-François (un salvateur coup de gueule paru dans le journal en août 2014) : --- C'est ainsi que séparer les notions de « cinéma de genre » et de « cinéma d'auteur » n'a jamais eu aucune pertinence. Au nom de quoi, un film reproduisant un certain nombre de conventions ne serait-il pas aussi un film d'auteur ? Les westerns d'Anthony Mann, les mélodrames de Douglas Sirk, les films de guerre... [Lire la suite]
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19 janvier 2013

Nos films préférés en 2012 : Emmanuel Levaufre

Neuf films et une actrice Saya Zamuraï, de Hitoshi Matsumoto (Japon) Cesare deve morire [César doit mourir], de Paolo et Vittorio Taviani (Italie) O Gebo et a Sombra [Gebo et l'ombre], de Manoel de Oliveira (Portugal-France) 4h44, dernier jour sur la Terre, d'Abel Ferrara (États-Unis-Suisse)   À moi seule, de Frédéric Videau (France) Go-Go Tales, d'Abel Ferrara (Italie-États-Unis)   Wrong, de Quentin Dupieux (États-Unis) My Soul to Take, de Wes Craven (États-Unis) [photo de tournage] Cosmopolis, de... [Lire la suite]
07 mai 2011

Scream, du frisson à la répétition ludique

Du frisson originel à la répétition ludique « La sortie de Scream 4, de Wes Craven, habile mise en abyme du film d'épouvante contemporain, semble tomber à pic pour favoriser une réflexion sur l'évolution du genre. A partir de quand une forme cinématographique commence-t-elle à se contempler elle-même, à entrer dans une phase d'épuisement de son énergie pour devenir son seul et unique sujet ? « Susciter la peur du spectateur est une entreprise aussi vieille que le cinéma lui-même, et la rhétorique de l'épouvante filmée s'est... [Lire la suite]
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